Historique du Restaurant Bagatelle

Au Maroc, au cœur de la cité ocre, se trouve un restaurant historique et de renommée: Le restaurant Bagatelle. Si son appellation semble dire qu’il s’agit d’une simple frivolité, détrompez-vous. En son sein, la cuisine et l’accueil, c’est une affaire très sérieuse, un savoir-faire en terme de cuisine familiale!

Et pour cause : Le restaurant Bagatelle est une véritable institution ! Ouvert en 1949 par Hélène Collomb, il est une affaire de passion pour la cuisine, une affaire de succès aussi, et enfin une affaire de famille car, aujourd’hui, c’est son petit fils et ses associés qui tiennent le restaurant.
Ainsi, après trois années de fermeture, son petit fils a réouvert en 2010 le restaurant le Bagatelle, à quelques mètres de l’ancien établissement. Repensé en termes de décoration avec sa magnifique coupole, une belle salle avec une cheminée et une terrasse spacieuse avec une belle treille, le restaurant conserve pour autant le concept et la convivialité du restaurant initial crée par sa grand-mère . Sur les murs , vous découvrirez une galerie de photos en noir et blanc , qui retracent l’histoire de Gueliz de ces soixante dernières années , que certains clients découvrent avec émotion . D’ailleurs, en venant y déguster de bons petits plats, il est possible que vous croisiez encore Lucette et Claude…En effet, ces deux-là en véritables passionnés, gardent toujours un œil attentif sur le lieu, et également un lien amical avec leurs anciens clients !

Du côté de l’assiette, la tradition a, elle aussi, été préservée : le restaurant sert toujours à ses clients des grands classiques de la brasserie parisienne : Les poireaux vinaigrette, les œufs mimosa, la cervelle ,les escargots , la langue de veau , les entrecôtes au poivre vert, les magrets de canard aux pommes, et pleins d’autres réjouissances .Une véritable cuisine de bistrot, à la fois traditionnelle et pleine de saveurs ! Des plats réalisés avec soin, autour d’ingrédients de base triés sur le volet. Une adresse à connaître, où l’on revient sans se faire prier…On s’y retrouve , et , on s’y trouve chez soi …